"Le plus petit dénominateur humain"
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"Le plus petit dénominateur humain"
Valérie LIQUET-MADRY est membre de l'ASFHA. Son premier roman, Le plus petit dénominateur humain est le journal que tient Sophie au moment de la mort de sa sœur Chloé, très lourdement déficiente. "Pour accepter la réalité du handicap que la mort ne gomme pas, il faut d'abord la décrire sans fard, la nommer, en mesurer le poids si difficile à évaluer par " les autres ". "Cette vie n'avait servi à rien d'autre qu'à nous la gâcher " écrit Sophie en évoquant l'existence de Chloé. Nous sommes invités à plonger dans l'abîme, loin d'un regard compassionnel ou convenu. Dans sa quête du plus petit dénominateur humain à faire grandir, Sophie attend une parole qui lui réponde. Cette parole existe. Elle permet de passer de l'errance à la vie.
Michel DONZEL, Président de l'ASFHA
Il est probable que l'expérience fraternelle et familiale singulière dont on sent qu'elle a été un mélange d'ancrage dans une réalité brute impensable et de nécessité vitale de s'en évader, a fourni la matière première de ce roman et de ses incessants passages entre réalité et fantasmes.
Régine SCELLES, Professeur de psychologie, auteur de l'ouvrage Fratrie et Handicap, Éd. L'Harmattan
Le roman peut être commandé sur le site de l' d'un monde à l'autre
éditeur d'un monde à l'autre.
Michel DONZEL, Président de l'ASFHA
Il est probable que l'expérience fraternelle et familiale singulière dont on sent qu'elle a été un mélange d'ancrage dans une réalité brute impensable et de nécessité vitale de s'en évader, a fourni la matière première de ce roman et de ses incessants passages entre réalité et fantasmes.
Régine SCELLES, Professeur de psychologie, auteur de l'ouvrage Fratrie et Handicap, Éd. L'Harmattan
Le roman peut être commandé sur le site de l' d'un monde à l'autre
éditeur d'un monde à l'autre.
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